Beauté de la Nature

Beauté de la Nature
On ne voit bien qu'avec le Coeur, l'Essentiel est invisible pour les Yeux ! Le Petit Prince d'Antoine de Saint Exupery

8 février 2024

Et de TROIS !

 Enfin, le voici ! "Un monde de Femmes" est le troisième roman de ma fille, Manuela :

La couverture est réalisée par Valérie Deneufchatel 

"2589. Après la Grande Guerre Globale, les femmes ont pris le pouvoir. Les hommes ne servent plus qu'à la reproduction et vivent retranchés dans une partie gardée des camps féminins. La nature a repris ses droits et les femmes vivent en communion avec Gaïa, la terre nourricière. Dans la communauté de Zama, Maya fête ses 16 ans et peut enfin découvrir l'extérieur des grands murs blancs, les livres de la Bibliothèque du Savoir et rencontrer les jeunes hommes à l'école des mâles. Mais la violence est aux portes de la communauté..."

Quelques commentaires :

Original !

Ce roman féministe est original. Il aborde plusieurs thématiques : la place de la femme et le patriarcat, la sororité mais aussi la spiritualité, le rapport à la nature, l’amour. Les citations entre les chapitres sont une vraie claque donnée au lecteur. À découvrir absolument !

A découvrir absolument

Très bon roman que ce monde des femmes dont l'auteure en tête de chaque chapitre, et avec un brin de malice, ne manque pas de nous rappeler comment il est vu depuis la nuit des temps. Maya l'héroïne, tout juste 16 ans, est attachante, empathique, volontaire et pour autant s'interroge sur ce monde pas si lisse qu'il y parait. L'histoire est bien menée, l'écriture agréable. Hâte de lire la suite et de découvrir aussi une nouvelle belle illustration de Valérie.

Magistral

Un plaisir de retrouver cette écrivaine après plusieurs années de pause. Sans doute en lien avec une réflexion personnelle intense, elle nous livre aujourd'hui un roman sincère et profond traitant d'un sujet actuel: la place des femmes et leur condition au sein d'une société encore chargée d'un lourd bagage patriarcale. A travers son personnage principal, Maya, petite guerrière douce et courageuse, ainsi que ses sœurs (au sens large du terme sa Sororité),Manuela, mélange spiritualité, acceptation de soi et de l'autre avec une sensibilité qu'on lui connaissait déjà. Grâce à sa plume fragile et forte à la foi elle nous pousse, à nous aussi réfléchir et prendre conscience de ce que nous ne voulons plus. Une fois entre vos mains il vous seras difficile de le reposer. Vivement la suite! "Savoir que des sociétés de femmes existent et les découvrir constitue en soi une forme d'espoir" Laure Adler.

Magistral

Un plaisir de retrouver cette écrivaine après plusieurs années de pause. Sans doute en lien avec une réflexion personnelle intense, elle nous livre aujourd'hui un roman sincère et profond traitant d'un sujet actuel: la place des femmes et leur condition au sein d'une société encore chargée d'un lourd bagage patriarcale. A travers son personnage principal, Maya, petite guerrière douce et courageuse, ainsi que ses sœurs (au sens large du terme sa Sororité),Manuela, mélange spiritualité, acceptation de soi et de l'autre avec une sensibilité qu'on lui connaissait déjà. Grâce à sa plume fragile et forte à la foi elle nous pousse, à nous aussi réfléchir et prendre conscience de ce que nous ne voulons plus. Une fois entre vos mains il vous seras difficile de le reposer. Vivement la suite! "Savoir que des sociétés de femmes existent et les découvrir constitue en soi une forme d'espoir" Laure Adler.

On en redemande !

Mon regard a d'abord été attiré par une très belle couverture haute en couleurs et intrigante. Je pensais lire un roman "feel good" pour passer un moment agréable. Puis, percutée par les citations en tête de chaque chapitre, je me suis dit : "Oh non, encore un argumentaire pour un féminisme exacerbé ! Que nenni ! Happée par l'histoire, je me suis abandonnée à la lecture de cette dystopie post-GGG (pour savoir ce que ça veut dire, il va falloir la lire…). A la suite d'une héroïne attachante, même et surtout dans ses défauts, l'autrice nous promène dans un univers qui nous interroge sur le monde actuel : pouvoir patriarcal, relations hommes-femmes, quête de spiritualité, d'égalité, de bienveillance… Le style limpide nous permet d'apprécier autant l'histoire en elle-même que les idées abordées, sans céder à l'extrémisme. Que dire, si ce n'est : "On en redemande !"


Ce livre est disponible en e-book et en version papier  

- chez votre libraire (sur commande), 

- sur le site d'Amazon : https://www.amazon.fr/dp/B0CNYCCLLT?ref_=cm_sw_r_apin_dp_KJDWGJH7EGG3KCQZNZWB&language=fr-FR

- sur le site de la FNAC : https://www.fnac.com/a19359080/Manuela-de-Seltz-Un-monde-de-femmes#omnsearchpos=2


20 mai 2021

Le RCS, fidèle à lui même : il nous fera trembler jusqu'au bout !

 

Oui, une fois de plus, le club de notre cœur nous procure notre dose d'adrénaline !

Le voici parti pour nous faire trembler jusqu'au bout ; mais, s'il vous plaît, seulement jusqu'à la fin du match contre Lorient ! Ne nous obligez pas à trembler encore jusqu'à la fin d'un éventuel match de barrage ! S'il vous plaît ! Je n'ai rien contre les situations qui nous obligent à bloquer notre respiration, surtout quand il s'agit d'un stress positif, une accession en division supérieure, un match contre une grosse équipe, une finale de coupe, etc… mais un risque de descente, non merci ! Epargnez-nous ça !

Voilà un texte qui traduit parfaitement l'état d'esprit des supporters :

NE JOUEZ PAS AVEC NOS CŒURS

À l’heure où une partie de la vie du club semble vaciller et où son avenir sportif à court terme est un poil flou, mon humeur de supporter est atteinte et mon moral footballistique mis à mal, hésitant entre colère et frustration mais inexorablement guidé par une passion inébranlable. Si le doute peut vous traverser l’esprit, la foi et la ferveur doivent l’emporter en cette période délicate. Quand on revient d’aussi loin, on sait mieux que quiconque ce que c’est que de retrouver la lumière. Le slogan « lève- toi si t’es Strasbourgeois » n’a jamais eu autant de raisons d’exister.

Aujourd’hui, j’ai mal à mon Racing, plongé dans un brouillard encore impensable il y a peu. Si la situation n’est pas (encore) irréversible, elle commence sérieusement à se tendre à mesure que le fossé de l’impensable se rapproche. Non, je ne veux plus revivre ces doutes et ces peurs qui hantent encore mes cauchemars d’enfant de la Meinau. Car ce club et ce stade sont bien plus que ce qu’ils paraissent. Comme la plupart des passionnés bleus et blancs, j’ai arpenté les travées de la Meinau dès mon plus jeune âge, comme mon père et mon grand-père avant moi. Des générations se sont succédées et se succèderont encore dans cet endroit si magique et si important à mes yeux. Non, ce stade n’est pas un simple stade et ce club n’est pas un club comme les autres. C’est mon club, mon Racing, notre passion.

À toi joueur, j’ai besoin de te dire à quel point j’aime l’écusson que tu arbores chaque week-end aux quatre coins du pays ; ce blason, celui de tout un peuple. Une passion au minimum, une drogue souvent et une raison de vivre parfois. Ne l’oublie jamais, Matz, Ludo, Adrien et tous les autres : vous avez entre vos pieds une partie de mon cœur, un bout de moi et toute ma passion. Vous avez bien plus que ça d’ailleurs car, comme on aime le dire, vous n’êtes pas onze mais des milliers. À chaque passe, à chaque duel, à chaque instant, c’est tout un peuple qui vit à travers vous. Quand vous marquez, on marque, et quand vous perdez… nous pleurons. Je ne veux plus te voir trembler, je ne veux pas que tu doutes. La peur fait partie de notre quotidien mais le Racing fait partie de nos vies. Ce que tu fais chaque jour, c’est le rêve de beaucoup d’entre nous : jouer avec ce fabuleux emblème sur le cœur. Sois en fier. Il te reste deux matchs pour clôturer cette saison si particulière, si difficile. Deux matchs pour laisser notre Racing à la place qui est la sienne.

Deux matchs pour une union sacrée sans limite. Pour soutenir une équipe, un entraîneur et son staff. Deux matchs pendants lesquels tous nos griefs et reproches doivent rester au placard. Moi, supporter, je veux te voir, toi, joueur, te battre pour nous tous, plus que lors de n’importe quel autre match. Je veux t’entendre, toi, Marc, tu permets que je t’appelle par ton prénom, Monsieur le Président, toi notre guide si discret et si calme. J’ai besoin de t’entendre me dire que tout ira bien. Je sais au fond de moi que tout ira bien mais j’ai besoin de te l’entendre dire. De sortir ce cette réserve qui demeure une qualité incontestable mais aujourd’hui n’est pas un jour comme un autre.

Alors, tous ensemble, sortez vos plus beaux habits de guerriers, peu importent la manière, le style de jeu ou les hommes. Peu importe le déroulement ou les péripéties, advienne que pourra mais ne jouez pas avec nos cœurs. Montez sur ce foutu terrain en prenant avec vous les milliers d’âmes qui vous aiment et battez-vous comme jamais vous ne l’avez fait de votre vie.

On vous aime, n’en doutez jamais. Vous êtes les représentants de notre passion, les garants de notre avenir.
Soyez-en fiers, soyez-en dignes.

Julien Conrad                                                                         12 mai 2021

Alsa'sport


Je préfère, et de loin, retrouver une image comme celle-ci :


C'est déjà bien assez difficile de ne pas pouvoir soutenir nos joueurs dans les stades mais se retrouver devant une retransmission télévisée (pour ceux qui peuvent) ou condamnés à suivre les Directs commentés sur le site des DNA par exemple, c'est à peine supportable ! 

1 mai 2021

Quand meurt l'apiculteur...

Aujourd'hui, 1er mai, année 2 du Covid, avec mes amies, nous sommes parties allègrement dans la forêt de la Robertsau à la recherche de quelques petites clochettes blanches. Le soleil n'était quant à lui pas présent, loin s'en faut, mais qu'à cela ne tienne, nous avons bravé la grisaille et la fraîcheur pour partir à la quête ! Elle ne fut pas vaine mais j'ose dire que les quelques brins que nous avons mérité notre récolte. Trempées, crottées et glacées, c'est avec plaisir que nous avons retrouvé la chaleur de notre "chez nous"

Et c'est devant un thé bien chaud que j'ai observé les abeilles butiner les fleurs sur ma terrasse :

A propos des abeilles, connaissez-vous cet usage que l'on retrouve dans le folklore de bien des pays lors du décès d'un apiculteur ?

Il fut un temps où presque toutes les familles rurales qui élevaient des abeilles suivaient une étrange tradition.

Chaque fois qu'il y avait un décès dans la famille, quelqu'un devait se rendre aux ruches et annoncer aux abeilles la terrible perte qui l'avait frappée.

Ne pas le faire entraînait souvent d'autres pertes : les abeilles quittaient la ruche, ne produisaient pas assez de miel ou même mouraient.

Traditionnellement, les abeilles étaient tenues au courant non seulement des décès, mais aussi de toutes les affaires familiales importantes: naissances, mariages et longues absences dues à des voyages. Si les abeilles n'étaient pas informées, on pensait que toutes sortes de calamités allaient se produire.

Cette coutume particulière est connue comme "l'annonce aux abeilles".

Cette pratique trouve peut-être son origine dans la mythologie celtique, selon laquelle les abeilles étaient le lien entre notre monde et le monde des esprits.

Ainsi, si vous souhaitiez transmettre un message à un défunt, il vous suffisait de le dire aux abeilles et elles le transmettaient.

La façon typique de le faire était que le chef de famille, ou la "bonne épouse de la maison", se rendait aux ruches, frappait doucement pour attirer l'attention des abeilles, puis murmurait doucement, tristement, la nouvelle solennelle.

Au fil des siècles, selon les régions, des particularités se sont développées. Ainsi, dans les Midlands de l'est, les épouses des défunts chantaient tranquillement devant la ruche : "Le maître est mort, mais ne partez pas ; Votre maîtresse sera une bonne maîtresse pour vous."

En Allemagne, un couplet similaire disait : "Petite abeille, notre maître est mort, ne me laisse pas dans ma détresse".

Une de mes tantes, en Thiérache, attachait un ruban noir aux ruches en signe de deuil. Fin XXe siècle. Il n'y a pas si longtemps…

 

Paru sur la Page Fb de Passion Patrimoine, le 22 avril 2021


15 février 2021

Des pommes fantômes ? Quésaco ?

Sur le site de Creapills, j'ai trouvé cette publication qui m'a vraiment intriguée et rappelé une histoire que me racontait mon grand-père mais que je ne parvenais pas à m'imaginer. Ce n'est pas que je doutais de la véracité de ses affirmations mais, des "Geister-Äpfel"...

Du coup, j'ai récupéré les photos publiées pour les montrer aux enfants afin qu'ils puissent voir, "pour de vrai" ce que c'est : 



Depuis maintenant quelques semaines, les États-Unis font face à des températures extrêmes dues à un vent polaire venu de l’Arctique. Bilan : des températures ressenties inférieures à -40, voire -50°C dans les grandes plaines du nord.

Et si on vous parle de tout ça, c’est parce que ce froid polaire a donné vie à un phénomène étonnant qu’un photographe a pu observer dans le Michigan. Jeudi 7 février, le photographe Andrew Sietsema a capturé un phénomène troublant et, disons-le, d’une rare beauté.

Il a en effet pris en photo des pommes entièrement constituées de glace et sobrement baptisées “pommes fantômes”. Ces petits blocs de glace reproduisent à merveille l’apparence des pommes de type “Jonagold” grâce à un phénomène physique simple mais non moins stupéfiant.

Des pommes ont gelé, nées du fruit d’une combinaison entre la pluie verglaçante et les températures polaires de la région. Des coquilles de glace ont littéralement figé l’empreinte des pommes qui se sont liquéfiées par le pourrissement. Résultat : la coquille de glace reste intacte et donne vie à ce phénomène inédit.

Une preuve que la Nature est capable de nous étonner jour après jour. Si de nombreuses personnes ont cru au photomontage, le compte Twitter Hoax Eye a confirmé que les photos sont belles et bien réelles. On vous laisse admirer ci-dessous cet étonnant phénomène !

8 février 2021

Racing Club de Strasbourg : Vous nous manquez ! Les supporters en manque !

 

L'été dernier, à l'issue d'une saison tronquée à cause de la pandémie de Covid, pour lancer sa nouvelle campagne d'abonnements, le RCS a publié sur son site une vidéo :

"Vous m'avez manqué !" 


C'est le Stade de la Meinau qui s'adresse aux supporters pour leur dire combien ils lui ont manqué depuis des semaines !

Mais les supporters, eux aussi, sont en manque ! Même ceux qui peuvent suivre leur équipe de coeur en regardant les retransmissions, ce qui n'a rien d'évident, surtout depuis le scandale de Médiapro !



Petits ou grands, jeunes ou moins jeunes, hommes ou femmes, nous sommes tous en manque et c'est à notre tour de dire à l'équipe, au staff, au stade : 

VOUS NOUS MANQUEZ !

Revenez-nous vite !

Et au cas où vous en douteriez encore :

c'est la façon des "supporters en manque" de manifester leur joie et leur fierté à l'arrivée du bus à l'issue de la victoire, tant attendue et espérée, contre notre voisin, le FC METZ  !

5 février 2021

Poseïdon alias Neptune, dieu de la mer, est en colère !

 

C'est juste

MA - GNI - FI - QUE !!!!!!!


Cette photo, postée sur les réseaux sociaux, a été prise par Mathieu Rivrin, samedi 30 janvier, lors de la tempête Justine, à Lesconil (29). Né à Brest, il est photographe professionnel, télé-pilote de drone, etc. Que ce soit à l'étranger (Islande, Ecosse…) ou en France, il a une préférence pour la Bretagne mais pratique son art aussi bien dans les autres régions.

Pour avoir une idée plus précise de ce qu'il propose, visitez son site : https://www.mathieurivrin.com/

Ou n'hésitez pas à le contacter : contact@mathieurivrin.com


Dans la mythologie grecque, Poséidon est le dieu de la mer et des océans. Surnommé l' "ébranleur du sol", il est également dieu des tremblements de terre et des sources. Son arme principale est le trident mais il est également symbolisé par le dauphin, le cheval et le taureau.
 
Son empire se trouve au fond de la mer d'où il protège ceux qui voyagent par les eaux. D'un caractère très ombrageux, il parcourt son univers avec un trident, monté sur un char tiré par des chevaux couleur d'algues et d'écume ou par des dauphins.
 
Très querelleur, il se bat tout le temps pour une raison ou pour une autre. Conquérant, il cherche à se rendre maître par la force et les armes.
 
Les Romains l'assimilent à Neptune.
 
S'il est indéniable que cette photo est superbe, que le photographe était là au bon moment, au bon endroit et qu'il a appuyé sur le déclencheur pile poil au moment parfait, je ne peux pas m'empêcher de me poser des questions : Mère Nature ne nous a-t-elle pas déjà envoyé plein de signes pour nous rendre attentifs au manque de respect dont nous faisons preuve envers elle ? Ce ne sont pas les catastrophes naturelles qui manquent en ce moment… mais elles se succèdent à un rythme de plus en plus soutenu et avec une violence que Poséidon ne renierait pas !